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Café des Images - Herouville saint Clair

Meera PERAMPALAM, Docteure en Études cinématographiques et audiovisuelles
(Sorbonne Nouvelle - Paris 3)

le lundi de 9h30 à 12h30 - 7 séances (entrée au cinéma : 4 € par film) - Café des Images
Dates :  14 octobre ; 18 novembre  --  6 et 20 janvier ; 17 et 31 mars ; 5 mai

Tous les adhérents de l'antenne peuvent assister au film de leur choix et assister aux commentaires de Meera PERAMPALAM, même s'ils ne sont pas inscrits au cycle complet. Se munir de sa carte d'étudiant.

Programme :

  1. Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (Indagine su un cittadino al di sopra di ogni sospetto), Elio Petri, 1970, Italie

  2. La Pendaison (Kōshikei), Nagisa Ôshima, 1969, Japon

  3. La Déchirure (Killing Fields), Roland Joffé, 1984, Royaume-Uni

  4. Missing (Porté disparu), Costa-Gavras, 1982, Etats-Unis

  5. Valse avec Bachir (Vals im Bachir), Ari Folman, 2008, Israël

  6. Zero Dark Thirty, Kathryn Bigelow, 2013, Etats-Unis

  7. Timbuktu, Abderrahmane Sissako, 2014, Mauritanie 

Le thème 2024-25 : Pouvoir et contre-pouvoir

L’œil du cinéma (sur)veille, et se tourne vers nos sociétés marquées par les fractures politiques, renversant par là-même les logiques de contrôle. Affirmant une relation de pouvoir comme de résistance, l’objectif scrute tantôt le point de vue du citoyen tantôt celui de l’Autorité (voire de l’opprimé ou de l’oppresseur), questionnant parfois son ambivalence.

C’est ce que certifie la soif de puissance d’un policier qu’Elio Petri illustre dans une Italie des années 1970 aux prises avec la corruption et les délits, là où l’immoral triomphe sans impunité dans Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon. L’atrocité criminelle ne peut alors mener qu’à un jugement fatal. La Pendaison remet néanmoins en cause la culpabilité d’un dit, assassin, devenu amnésique, interrogeant ainsi la droiture et les failles de la Justice, comme le narre le japonais Nagisa Ôshima. Ces infractions se prolongent jusqu’à atteindre des proportions inhumaines dans La Déchirure, réalisé par le britannique Roland Joffé, qui dépeint la violente cruauté des Khmers Rouges aux rênes d’un Cambodge dévasté. Ce régime dictatorial trouve un fort écho dans celui du général chilien Pinochet, qui laisse difficilement place à la résistance mais offre une sépulture sans tombe à ces milliers d’opposants disparus, à l’instar du journaliste américain dont la recherche s’apparente à une quête pour son père dans Missing, mis en scène par Costa-Gavras. L’individu tend peu à peu à s’interroger, comme il en est question dans le documentaire d’animation autobiographique d’Ari Folman, Valse avec Bachir, qui conte les souvenirs d’un soldat israélien hanté par les chimères d’une guerre fratricide, où les massacres écrasent la part d’humain qui réside en soi. Cette hantise se fortifie quand le terreau terroriste devient la cible d’une armée, d’un pays, en l’occurrence les Etats-Unis, prêts à se venger des attaques du 11 septembre 2001. A travers l’opération Geronimo, Zero Dark Thirty atteste des moyens mis en place par les services secrets grâce à la caméra de Kathryn Bigelow. Malgré tout, la guerre contre le terrorisme semble parfois vaine quand les fondamentalistes finissent par dicter l’absurde et détruire la poésie humaine sur fond de matraquage religieux, tel que le relate le mauritanien Abderrahmane Sissako sur le territoire malien de Timbuktu.

Ainsi, les questionnements sur le pouvoir et le contre-pouvoir traversent l’Histoire, et le cinéma en devient le témoin à part entière adoptant des regards verticaux qui surplombent ou contrecarrent, produisant un discours sur notre réel imprégné par des enjeux de contrôle incessants.

 

Cinéma LUX

Thème de l'année : "Le cinéma japonais"

Après un an consacré au cinéma allemand, je vous propose, pour cette année universitaire 2024-2025, de nous retrouver autour d'un cycle consacré à l'histoire du cinéma japonais. Une industrie prolifique à la cinématographie foisonnante, quasiment inconnue des français avant Le Lion d'Or obtenu par Akira Kurosawa pour Rashōmon en 1951.

Pourtant, l'intérêt de la France pour la culture nippone remonte à loin et ne s'est jamais vraiment essoufflé, du japonisme de la seconde moitié du XIXe siècle à l'engouement actuel pour les mangas, animés ou jeux vidéo japonais.

À travers une sélection de huit films hétéroclites s'étalant des années 50 à nos jours, nous étudierons les spécificités de ce cinéma national d'un point de vue à la fois historique, narratif et esthétique.

 

  • 14 octobre 2024 : Rashōmon

  • 4 novembre 2024 : Fleurs d’équinoxe

  • 25 novembre 2024 : La nuit des femmes

  • 13 janvier 2025 : Le Tombeau des lucioles

  • 24 février 2023 : Pluie noire

  • 17 mars 2023 : Ring

  • 28 avril 2023 : Les délices de Tokyo

  • 19 mai 2023 : L’innocence


 

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